De retour du congres d'orl francais ou j'ai présenté une communication sur une analyse retrospective sur la rhinoplastie de type "africain "
En resumé sur un série de 52 patients opéres sur 36 mois
Il est possible de distinguer 3 groupes morphologiques différentes et de difficulté croissante
Un premier groupe ( 21 % ) de nez type caucasien a peau modérement épaisse avec une hauteur correcte voire meme associé a une bosse
Un second groupe ( 62 % ) de nez type Africain caracteristique
Un troisieme groupe ( 17% ) de nez a peau tres épaisse a base tres large avec une tres mauvaise définition de la pointe
Cette analyse révéle que 81 % des patients se disent globalement satisfait du résultat , mon analyse est que 62 % des patients ont répondu aux objectifs préopératoire
Cette analyse révéle que la définition de la pointe est d'un des point d'insatisfaction des patients , celle ci est difficile a obtenir du fait de l'épaisseur de la peau , la définition s'ameliore jusqu'a 1 an apres l'intervention
La réduction de la base du nez est des satisfactions des patients , il faut etre prudent dans la résection car il est facile d'y retourner sous anesthésie locale , il est plus complexe de regreffer en cas d'excés de resection
Dns cette analyse 20 % des patients ont bénéficié d'une reprise sous anesthesie locale pour diminuer ou symétriser la base du nez
La discussion a conclu que pour les patients du groupe 3 a hauteur faible et tres mauvaise définition de la pointe
Une meilleur définition peut etre obtenu en utilisant une greffe d'extension septale avec du cartilage rigide du septum , le cartilage de l'oreille étant utilisé sous la forme d'une greffe en dés (DCF) enroulée dans de l'aponevrose temporale (technique decrite par le dr rollin daniel )
Dr Lionel Azan